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Contradictions IX-X-XI-XII-XIII
Voici une contradiction (toujours apparente) mais celle-ci n'est pas liée à un ou plusieurs versets bibliques.
L'Eglise enseigne que par le baptême, le chrétien n'a plus en lui le péché originel. Plus même, au moment de se faire baptiser, tous ses péchés antérieurs sont effacés. (Ac 2,38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés...; II Co 5,17 quiconque est en Jésus-Christ est une nouvelle créature; les choses anciennes sont passées, voyez tout est devenu nouveau.)
Dans ce cas, supposons un couple de chrétiens qui mettent au monde un enfant. L'Eglise enseigne encore que le nouveau-né a hérité du péché originel. Comment est-ce possible puisque ses parents ne le possèdent plus depuis que tous deux ont reçu le baptême ?
Comment expliquer la contradiction (apparente) suivante : Pr 1,7 La crainte de Yahweh est le commencement de la sagesse (9,10; 15,33) I Jn 4,18 la charité parfaite bannit la crainte ? Si saint Jean a raison, pourquoi la théologie catholique enseigne-t-elle que le premier des sept dons de l'Esprit-Saint est le don de crainte (Is 11,2) ? Si saint Jean a raison, pourquoi le Psalmiste dit-il : La crainte de Yahweh est sainte ? (Ps 18,10) Si saint Jean a raison, pourquoi saint Paul écrit-il : soyez soumis les uns aux autres dans la crainte du Christ ? (Ep 5,21) Vous dites bien Marie : chez saint Marc, il y a "... ni le Fils..." chez saint Matthieu, le Fils n'est pas précisé. Jésus dit qu'il ne connaît pas le jour du jugement :
Mc 13,32 Quant à ce jour et à l'heure, nul ne le connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais le Père.
Comment se peut-il puisque nous savons que Jésus connaît tout : Jn 16,30 Maintenant, nous savons que tu sais toutes choses. Jn 21,17 Il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime.
Comment peut-on expliquer l'apparente contradiction dans les deux paroles de saint Paul (au moment de sa conversion sur le chemin de Damas) :
Ac 9,7 Or les hommes qui l'accompagnaient demeuraient tous étonnés, entendant bien la voix, mais ne voyant personne.
Ac 22,9 Et ceux qui étaient avec moi virent la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.
Comment peut-on expliquer l'apparente contradiction dans les deux paroles de saint Paul (au moment de sa conversion sur le chemin de Damas) :
Ac 9,7 Or les hommes qui l'accompagnaient demeuraient tous étonnés, entendant bien la voix, mais ne voyant personne.
Ac 22,9 Et ceux qui étaient avec moi virent la lumière, mais ils n'entendirent pas la voix de celui qui me parlait.
Tout homme de votre race, qui s'approchera en état d'impureté des choses qui auront été consacrées et que les enfants d'Israël auront offertes au Seigneur, périra devant le Seigneur. (Lv 22,3) ?
Comment peut-on périr devant le Seigneur, lui qui est amour ? Puisque nous sommes tous pécheurs, devrons-nous alors tous périr devant le Seigneur ? Comment expliquer cette contradiction ?
Voici une contradiction (toujours apparente) mais celle-ci n'est pas liée à un ou plusieurs versets bibliques.
L'Eglise enseigne que par le baptême, le chrétien n'a plus en lui le péché originel. Plus même, au moment de se faire baptiser, tous ses péchés antérieurs sont effacés. (Ac 2,38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés...; II Co 5,17 quiconque est en Jésus-Christ est une nouvelle créature; les choses anciennes sont passées, voyez tout est devenu nouveau.)
Dans ce cas, supposons un couple de chrétiens qui mettent au monde un enfant. L'Eglise enseigne encore que le nouveau-né a hérité du péché originel. Comment est-ce possible puisque ses parents ne le possèdent plus depuis que tous deux ont reçu le baptême ?
Augustinius Avec l'accord précieux de son auteur notre Ami Augustinius
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Date de dernière mise à jour : 05/07/2021
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